SORTIE AU MUSÉE DE LYON  

Mercredi 7 décembre 2022

 

Rendez-vous à 8h15, sur le parking « Médiathèque / Université » (entrée Bd de Belgique).

Retour prévu vers 19h. Tarif : 70 euros par personne (repas sur place compris).

Visite guidée limitée à 25 personnes.

Bulletin d’inscription en encart.

Expositions 
« A la recherche des hiéroglyphes oubliés 
Jean-François Champollion / François Artaud » 

François Artaud (1767-1858) est le directeur du musée des Beaux-arts de Lyon. C’est un amoureux de l'Egypte (collectionneur et marchand d'antiquités égyptiennes), l'Egypte antique étant très admirée à Lyon. Il est passionné par le travail de Champollion (1790-1832), à qui il va fournir des œuvres et des textes originaux, pendant 20 ans, pour l'aider à trouver "les clés" permettant de comprendre cette civilisation qui les passionne. Il l'aidera pour son voyage en Egypte.

En cette année du bicentenaire, le musée des Beaux-arts a voulu rendre un hommage à Champollion, au côté de François Artaud, l'homme qui, par son aide, a permis le développement d’une science nouvelle : l'égyptologie. 145 antiquités, objets, œuvres et correspondances sont exposées.

 
« Poussin et l'amour »

Né aux Andelys en 1594, mort à Rome où il est inhumé en 1665, Poussin est considéré comme le représentant du classicisme français, alors qu'il a fait l'essentiel de sa carrière en Italie. Son œuvre est immense et variée : portraits, sujets inspirés de l'antiquité ou de la religion, dessins. Il a un peu travaillé pour le roi de France, mais surtout pour des amateurs privés.

Pourquoi l'amour ? Dans ses grands tableaux et parfois dans ses portraits, des scènes d'amour profanes ou religieuses, parfois violentes, baignent dans une nature foisonnante adorée par le peintre.

La grande passion, la seule histoire d'amour de Poussin a été son art, la peinture.

 

 
 

CONFÉRENCE

 

Les scies battantes

Par Bernard Christophe, Jeudi 17 novembre 2022 à 17 heures, à la Médiathèque


Les scies battantes ou scies alternatives sont les ancêtres de nos scieries modernes.

Présentes dans tous les massifs forestiers français elles ne sont qu'une mécanisation de nos traditionnelles scies de long.

La seule énergie disponible avant l'apparition de la vapeur au début du XIXe siècle était l'eau de nos rivières. C'est donc en toute logique qu'elle a été utilisée comme force motrice depuis des temps très anciens.

Les nombreux moulins à eau utilisés depuis le Moyen Âge étaient multi-usages (céréales, papier, tan, chanvre, forge etc.…). Ils ont donc aussi été adaptés au sciage du bois.

C'est ce que la vidéo conférence du 17/11 vous exposera en première partie, avec ensuite, un exposé sur ce qui existait près de chez nous dans la montagne bourbonnaise.