Exposition « L’envers du décor » à la Comédie Française et à l’Opéra au XIX^ème siècle

Lundi 2 avril 2012

Centre national du costume de scène – Moulins

Départ à 12 h 30 du parking « Médiathèque/Université »

C’est au XIX^ème siècle que la scénographie a pris une importance capitale dans ces deux théâtres institutionnels. On y adopte des styles de spectacles avec féérie set trucages en vogue dans des scènes secondaires et considérées comme indignes jusque là. Ils accompagnent une révolution, la tragédie parlée ou lyrique statique est démodée. L’opéra, le drame, le ballet s’animent et exigent un décor.

Le visiteur, en soulevant le rideau, va découvrir un monde qui lui est caché : sur un parcours de vitrines animées, de machineries reconstituées, de dessins, de maquettes, c’est tout l’univers des coulisses. Pour un spectateur du XXI^ème siècle, habitué à des décors souvent minimalistes, c’est une plongée dans un monde de rêves et de fantasmes. Avec un risque, bien sur, de tomber nez à nez… sur le fantôme de l’opéra !!!

Bulletin d’inscription joint en encart

Un soir au musée

Jeudi 5 avril 2012

Musée Joseph Déchelette – 22 rue Anatole France – Roanne

Rendez-vous sur place à 18 h 30

L’habitude est désormais prise de nous retrouver, une petite heure tous les deux mois, au musée, pour la lecture d’une œuvre. Ce soir, Kristine Gaillard analysera pour nous une pièce de la riche collection d’antiquités égyptiennes présentée au 2^ème étage de l’aile nord, collection en majeure partie donnée par Joseph Déchelette.

Exposition « La médecine à l’époque romaine »

Jeudi 19 avril 2012

Musée gallo-romain de Fourvière – Lyon

Départ à 12 h 30 du parking « Médiathèque/Université »

« Quoi de neuf, docteur ? »

Sous le haut patronage d’Hippocrate, l’exposition part sur les traces des médecins et de leurs patients à l’époque romaine.

Lorsqu’on s’intéresse à la médecine, évoquer Rome et son Empire, c’est faire revivre un monde où l’espérance de vie est limitée, la mortalité infantile élevée, où une banale infection peut être mortelle, où, enfin, religion et magie viennent souvent au secours de la science.. Mais, c’est aussi une civilisation qui connaît les traités de médecine, où les nombreux praticiens sont souvent spécialisés et disposent d’instruments perfectionnés. Ils savent réduire les fractures, soigner les plaies et même, opérer la cataracte !... avec le souci de l’hygiène du corps, de la salubrité des villes ou de la qualité de l’eau.

Nombre de places limité à 25. Bulletin d’inscription joint en encart